Dès la jeune enfance l’âme connaît ses premiers heurts et la confrontation au non-amour. Cette souffrance va l’empêcher d’agir, de s’épanouir.
A travers ce non-amour, la peur s’installe, alimentée ensuite par l’angoisse, le stress et ensuite par la désolation et l’errance dans la quête de moyens pour trouver ce légitime repos là. L’expérience prouve que les choses de ce monde ne peuvent les donner.
Notre faim et notre soif peuvent être apaisées, mais non pas nos âmes.
J’ai vu des millionnaires et leur ai demandé : » S’ils sont contents de leur sort ; si leur richesse les satisfait ? » Ils ont sincèrement répondu : » Non, absolument pas ! «
J’ai rencontré des personnages haut placés, et je leur ai demandé : » S’ils sont satisfaits ? » Ils m’ont également répondu : » Non « . Ils font aussi cette terrible confidence : » Nous avons des besoins, mais nous ne trouvons rien qui satisfasse notre âme. «
Beaucoup se sont efforcés de trouver ce repos de leur âme, mais ils se sont peu à peu lassés de cette recherche et ils sont tombés dans le désespoir.
Etincelle divine (pour les croyants), l’âme âme ne peut vivre que d’amour. C’est sa seule nourriture.
Parce qu’elle vit dans une jungle féroce où la paix ne règne pas et les nourritures de ce cette jungle ne sont point comestibles pour elle, voire mortelle.